• LOLA - MA PREMIERE SOURISComme à mon habitude je quittais une fois de plus mon domicile, au grand dam de ma maîtresse, mais l'aventure c'est mon truc. Dans le jardin du voisin, je me suis mise en chasse c'est fou ce qu'il peu y avoir comme bestioles.

    J'ai d'abord repéré un papillon, j'ai beau être agile, il m'échappe toujours ensuite j'ai trouvé une grosse bête toute noire, je l'ai prise dans la gueule et je l'ai ramenée à la maison. Mon maître l'a regardée il à dit que c'était un grillon, il l'à remis dans le pré, déçue je suis retournée au jardin, j'ai vu quelque chose remuer non loin de moi, en un bond je fut dessus, c'était une souris, je n'allais pas la ramenée à la maison, d'ailleurs mon maître à vite fermé la porte. J'ai pu m'amuser longtemps, malheureusement, cette souris au bout de quelque temps donnait des signes de faiblesse, j'ai du me résoudre à l'abandonner.

    je vais m'en chercher une autre


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  • LOLA-2A la campagne

    Aujourd'hui je suis arrivée dans ma maison de campagne, j'aime bien mis à part le voyage en voiture. J'ai trouvée un nouveau jeu, dans le jardin du voisin il y a un couple de pie qui niche sur une branche et comme en dessous il y a une petite cabane j'arrive à monter sur le toit et cela me rapproche des pies qui se mettent à jacasser, ça fait un boucan terrible et ça m'excite. L'autre jour je m'amusais bien quand le matou du voisin gros minet il s'appel il est énorme tout blanc, il m'à foncé dessus et pour lui échapper je n'ai eu qu'un recours, monter sur le toit de la maison, j'étais contente le gros lourdaud n'avait pas pu me suivre. J'ai attendu quelque temps qu'il s'en aille et j'ai voulu redescendre, et là malheur que c'était haut et en pente, après quelques miaulements désespérés, personne ne m'entendait, il a fallu que je me résigne à passer la nuit sur le toit, une cheminée m'offrait un endroit plane et je m'y suis pelotonnée, la nuit à ét fraiche et j'avais le ventre creux. recroquevillée sur ma cheminée je ne bougeais plus, lorsqu'un remue ménage suscita ma curiosité. En bas il y avait des voitures rouges et plein de bonhommes, de mon perchoir je regardais les allées et venues de tous ces gens, j'ai enfin compris que tout ce branle-bas était pour moi, je pris un air indifférent pour masquer mon impatience. Une échelle a été dressée puis une autre sur le toit, et j'ai vu arriver un homme cuirassé, botté, ganté et casqué, j'ai pensée tiens il me prend pour un fauve, allons je n'allait pas jouer les bêcheuses et puis j'avais une fringale, j'avais hâte d'être en bas, je me suis donc laissée prendre gentiment et je me suis enfin retrouver dans les bras de ma maîtresse. Que mamours et que je cajole, c'est bien tout ça, mais je préférerais une bonne gamelle, une nuit à la belle étoile ça creuse.

    Voilà mon odyssée, elle se termine bien mais il va falloir que je me méfie de gros minet


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  • Bien que piètre pêcheur, j'aimais suivre Alain qui passait beaucoup de temps dans les rochers à taquiner l'ormeau, le homard et autres crustacés. Son coin de prédilection << tavanioun >> il connaissait chaque rocher chaque cavité, je suis certain  qu'à chaque marée il posait le pied au même endroit, on aurait cru funambule, le panier dans une main le bascroc dans l'autre, je peinais à le suivre sur le lieu de fouille, nous passions des heures dans l'eau jusqu'à la ceinture, je n'ai toujours pas compris pourquoi nous mettions des bottes, finalement cela n'avait pas d'importance seul comptait le moment ou l'ont se retrouvaient dans les rochers et le goémon, le temps changeait de dimension, nous descendions dans des endroits jamais découvert en marée normale. Alain ramenait toujours des ormeaux alors que moi je n'ai jamais pu en ramener un seul au grand dam d'Alain. Il y avait aussi la pêche aux congres, je l'accompagnait à la grève et dans les trous d'eau nous pêchions d'abord des petits poissons qui serviraient d'appât, une fois cela fait nous tendions une corde garnie d'hameçons entre deux rochers, cela à marée basse, puis nous repartions vaquer à nos occupations. A la basse mer suivante nous allions ramasser les prises. Un jour que nous avions du retard, en arrivant sur notre lieu de pêche, nous apercevons  un homme qui détachait un poisson? Avant que je n'ai eu le temps de réagir Alain sautait de rochers en rochers et fut au pied du gars avant que celui-ci ne l'aperçu. Bien que bouillant de l'intérieur Alain paraissait calme mais au ton de sa voix je présageais l'orage. L'homme surpris ne pipa mot et encaissa l'engueulade et eu droit à une leçon de morale, bien qu'il voulu se disculper il n'eut droit à la parole, repartant tête basse avec ses deux gamins, Alain le rattrapa et lui tendit un jeune congre lui donna même la recette, je reconnaissais là Alain, bourru mais un bon coeur.


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  •  je m'appelle Lola, ma vie commence bizarrement dans un container stocké sur le parking d'une usine, ce devait être aux environs du mois d'août, ma mère une chatte sauvage, nous laissaient mes frères et moi seuls de longues journées. Nous avions très faim et malgré nos miaulements la tétée se faisait attendre. Dès que ma mère arrivait, nous nous précipitions sur ses mamelles, nous grandissions tant bien que mal, jusqu'au jour ou je fut ramassée par un monsieur. J'étais assez délurée et je mettais aventurée hors du container qui nous servait de nid mais il m'était impossible d'y remonter et à la vue de ce géant, je me sentais plutôt effrayée, je n'était pas bien grande et je tenais dans le creux de sa main, un peu de lait sur mon museau ne me rassura guère et de plus belle je me mis à miauler. C'est ici que ma destinée changea. Je me suis retrouvée dans un carton pas rassurée du tout, dans le noir mon dieu quelle appréhension, je n'en menais pas large et mes miaulements plaintifs n'émouvaient personne. Trimbalée ballottée je me suis retrouvée dans la voiture, le bruit était terrifiant, ce n'était pas pour me rassurer, le vacarme cessa et le carton s'ouvrit. Changement de décors, le nez en l'air je renifle, les yeux au ras du carton je jette un oeil autour de moi, je m'enhardie à sortir du carton et de faire le tour de la pièce. Je me sentais bien et une soucoupe de lait enleva le reste de mes craintes. Depuis j'ai grandie, je fais quelques bêtises, on me crie dessus et moi je fais semblant d'avoir peur. Je ne regrette pas mon container.

    à bientôt pour d'autres aventures

     


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  • Réalisation d'une crèche de noël


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