J'aimerais avoir la force de me tourner vers les autres, mais c'est difficile

je l'avais dit, il est là

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<< Je m'appelais TAO, j'avais à peine un an, j'étais un gentil petit chat et je suis mort ce matin à six heure, il est midi et personne ne s'est encore rendu compte >>

C'est au-dessus de la petite maison qui borde la route que se situe mon point de vision, je suis allongé dans l'herbe au bord du fossé, sorti de momort imbécile.n corps, je le contemple. Je suis mort et je ne m'en suis même pas rendu compte cela à été trop rapide.

Je regarde mon corps dont j'ai été expulsé sans préavis, quelle gâchis, quelle mort imbécile.

Ma courte vie défile devant moi, je me souviens être arrivé au mois de juin, j'étais tout petit, environ deux mois. C'est une dame qui m'a trouvé dans son jardin, je ne me souviens pas comment j'étais arrivé là, mais j'ai bien senti qu'elle ne voulait pas me garder, elle à fait le tour du quartier pour me faire adopter, les candidats à l'adoption ne se bousculaient pas, pas même mes maîtres actuel ne semblaient pas très empressés, puis ma nouvelle maîtresse qui disait non tout en pensant oui m'a amené dans ma nouvelle demeure. J'était tout beau tout mignon, je ronronnais de plaisir, elle m'a monté dans la chambre de monsieur, il était couché, malade. Elle m'a posé sur le lit et je me suis blotti au creux de son bras. Ils ont craqués, j'étais adopté, j'ai passé ma première journée sur le lit. J'ai grandit sans histoire, j'étais toujours aussi adorable, je ne faisais pas de bêtises, je m'amusais dans le jardin, je grimpais aux arbres que c'était agréable, ensuite je rentrais sagement manger mon repas. Je grandissais et m'enhardissais un peu plus chaque jour, j'allais m^me rendre visite aux vaches dans le pré voisin, mais prudemment car elles étaien énormes. Parfois j'allais chez le voisin regarder les poules et les pigeons, ça bougeait tout le temps, je me sentais une âme de chasseur, mais un grillage empêchait toute approche. Dommage.

Maintenant tout cela est fini, comme c'est court la vie d'un chat.
Il est quatorze heure, je suis toujours au même endroit et je vois apparaître mon maître, il à l'air inquiet, je sens qu'il appréhende quelque chose, je voudrais lui dire que je suis là mais je ne peu plus miauler. Il s'arrête et je comprend qu'il m'a aperçu dans l'herbe. Il est de l'autre coté de la route, il semble hésitant le regard fixé sur mon corps inerte, enfin il traverse et s'agenouillant ne peu constater que je suis bien mort. Je l'entend murmurer " petit con " je suis d'accord avec son oraison funèbre. Il à fallu que je sorte cette nuit-ci, un bruit assourdissant, un éclair et plus rien.

Et puis j'ai senti une présence, LOLA était là lorsque la forme blanche est sorti de mon corps écrasé, elle était là pour m'accueillir tout simplement " tu vois TAO il y à une vie après la mort "  c'est l'automne, ma vie défile sur un écran d'ordinateur il va y avoir le mot FIN

j'ai peur.